Stephanie Fulton, prof de nutrition à l’Université de Montréal, m’explique qu’on a découvert le rôle d’une hormone appelée leptine. Les endorphines, c’est un peu une légende urbaine, ou plutôt, leur présence n’est pas une explication.
La leptine est aussi appelée hormone de « satiété ». C’est un truc qui envoie au cerveau le message qu’on a assez mangé. On ne sera pas surpris d’apprendre que c’est lié au gras.
Ce que l’étude du D
Fulton démontre, c’est que moins on a de cette hormone, plus on a de motivation pour l’exercice d’endurance. Et plus on s’entraîne, plus elle diminue.Lire la nouvelle sur LaPresse